Pourquoi j’ai aimé « Ishmael, l’homme une fois disparu y-aura-t-il un espoir pour le gorille ? »

Ce roman philosophique publié aux Editions Libre aborde la question de la place occupée par cet animal particulier qu’est l’être humain. Je vous laisse découvrir le résumé qu’en font les Editions Libre sur leur site internet :


« « Professeur cherche élève souhaitant vraiment sauver le monde. » Un homme d’une trentaine d’années, cherchant un sens à sa vie, répond à cette petite annonce et découvre que le professeur est un gorille nommé Ishmael… S’engage alors entre eux un dialogue socratique surprenant, drôle et profond, sur de grandes questions tout à la fois philosophiques, historiques et morales. À travers Ishmael, Daniel Quinn tente de nous montrer que plusieurs postulats largement acceptés et indiscutés au sein de la civilisation, comme l’idée de la suprématie humaine, constituent des mythes, des fabrications culturelles aux conséquences manifestement désastreuses, qu’il est, à ce titre, possible de défaire. »

J’ai englouti ce livre en quelques heures pendant un des après-midi chauds que nous a offert ce mois d’aaoût. Installée dans un bain de soleil au milieu de mon jardin en fleurs, gourmandise des pollinisateurs qui assuraient le fond sonore en bourdonnant sans discontinuer.

L’auteur nous guide dans une réflexion destinée à déconstruire ce qui est communément admis, pour discerner le factuel du culturel. Dès les premières pages en effet, on est amené à s’interroger sur notre mythe de la création… L’Evolution ! Que Darwin ne se retourne pas dans sa tombe, il n’est pas question de retirer les primates de la liste de nos ancêtres, mais seulement de remettre en question le sens que l’on donne à « ce mythe ». Ça vous intrigue ? Je ne vous en dis pas plus pour vous laisser le plaisir de déguster vous-même cette jolie réflexion empreinte d’un optimisme discret.

N’hésitez pas à l’emprunter ou à le réserver s’il n’est pas disponible !

Christelle

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