L’horloger de Saint-Paul, France, 1974.

Michel Descombes mène une vie paisible dans le quartier Saint-Paul à Lyon, où il exerce la profession d’horloger. Jusqu’au jour où la police vient l’avertir que son fils Bernard, qu’il élève seul depuis le départ de sa femme, est accusé d’avoir tué un vigile de l’usine où travaillait sa petite amie.…
L’amour paternel est-il inconditionnel ?
Que la fête commence !, France, 1975.

Le film met en vedette Philippe Noiret, Jean Rochefort et Jean-Pierre Marielle, mais aucune scène ne les réunit tous les trois (si le duc d’Orléans et l’abbé Dubois se côtoient tout au long du film, Pontcallec ne fait que rencontrer brièvement Dubois et ne rencontre jamais le Régent) : les trois comédiens, amis à la ville, n’ont été à nouveau réunis au cinéma que vingt ans plus tard, dans Les Grands Ducs de Patrice Leconte, où ils sont cette fois tous ensemble à l’écran.
La régence telle que l’on ne la trouve pas dans les livres d’Histoire.
Le juge et l’assassin, France, 1976.

Bertrand Tavernier « offre » à Michel Galabru un premier rôle dramatique à la mesure de son immense talent. Il fit l’unanimité des critiques et fut récompensé par le César du meilleur acteur.
Une semaine de vacances, France, 1980.

Lyon, hiver 1980, une jeune enseignante, professeur de français, doutant d’elle-même et de sa vocation, prend une semaine d’arrêt de travail pour surmenage. Une semaine de réflexion sur sa vie et sa carrière.
Coup de torchon, France, 1981.



Une certaine idée de l’Afrique…
Un dimanche à la campagne, France, 1984.

Un dimanche de la fin d’été 1912. Monsieur Ladmiral est un peintre sans réel génie, au crépuscule de sa vie. Depuis la mort de sa femme, il vit seul avec Mercédès, sa domestique. Comme tous les dimanches, il accueille Gonzague, son fils, un garçon rangé, épris d’ordre et de bienséance, accompagné de son épouse, Marie-Thérèse, et de leurs trois enfants, Émile, Lucien et Mireille.
De nombreuses scènes d’Un dimanche à la campagne font référence à l’univers impressionniste.
Autour de minuit, États-Unis/France, 1986, Drame musical.

Dale Turner est un saxophoniste noir-américain qui vit à Paris dans les années 50. Il devient l’ami d’un dessinateur français incompris, Francis Borler, qui essaie de le sortir de son alcoolisme.
Le film est inspiré de la biographie de Bud Powell, écrite par Francis Paudras en 1986 : La Danse des infidèles.
La musique du film, signée par Herbie Hancock, a été récompensée du César et de l’Oscar 1987 de la meilleure musique.
Retrouvez la suite de la filmographie de Bertrand Tavernier disponible en DVD à la bibliothèque dans un prochain article.